Livres

Il faut parfois déplier les étoiles, Erika Boyer

Tout au long de l’année, Eliott enferme ses vœux à l’intérieur d’étoiles en papier, dans l’espoir de les voir un jour se réaliser. Ils sont variés : monter tout en haut de la Tour Eiffel, avoir son BAC, manger une bonne brioche, acheter une nouvelle paire de baskets… À 16 ans, il y a tant de choses qu’il désire !
Mais quand Sora, son meilleur ami, prend sa jarre à souhaits et s’engage à en réaliser un par jour, pour se faire pardonner d’avoir encore oublié son anniversaire, Eliott n’est plus très sûr de vouloir que ses rêves deviennent réalité.
Parce que dans ses étoiles, il y a aussi de grands secrets, comme l’amour qu’il porte à Sora depuis des années…
24 jours, 24 voeux et 24 chances d’être démasqué.
Décembre promet d’être agité !

J’ai eu un petit faible pour ce roman, avant même qu’il ne soit sorti. Premièrement, son titre. Il est beau, il fait rêver, il me renvoie une image douce et chaude. Deuxièmement, la couverture. Simple et pourtant j’adore la contempler. Le bleu apaise, la typographie qui renvoie directement à Noël… Et puis, il y a le résumé. Un résumé qui de suite m’a plu, de suite m’a renvoyé l’image d’une histoire toute douce, cocooning, doudou… J’en avais fait part à l’auteure qui m’a répondu que peut-être cela ne me plairait pas. Mais je savais, je savais que j’allais adorer. Je le sens, quand un livre va me plaire.

Donc j’ai craqué pour la box, qu’Erika a organisé pour la sortie de ce roman.

J’ai attendu début décembre pour le lire, dans le cadre du Eduam book club, qui a retenu ce livre pour le mois de décembre.

A lire en calendrier de l’Avent ou à dévorer, ce roman est un top. Personnellement, je l’ai dévoré.

Cette histoire m’a beaucoup apporté. Erika Boyer ne se doute pas, du pouvoir qu’ont eu ses mots sur moi. Au moment où j’ai le plus besoin de réconfort, ses mots m’ont apaisé, transporté. J’avais besoin de douceur, de légèreté et j’y ai trouvé mon compte dans son roman.

Une lecture doudou. C’est comme ça que je qualifierai ce roman. Pas trop d’éléments de Noël, juste ce qu’il faut. Une chaleur, telle qu’on attend d’un bon feu de cheminée, transmise par les personnages, unis comme une seule et même famille, qu’ils aient le même sang ou non. De la douceur, grâce à certains personnages comme Elisa, mais aussi grâce à certaines relations comme celle de Sora et Eli (et une autre dont je tairai pour ne pas gâcher la surprise aux futurs lecteurs).

J’ai beaucoup de choses à dire sur ce roman, mais je ne pourrais pas le faire ici, car ce serait vous enlever toute la magie du livre, si vous ne l’avez pas encore lu.

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3 commentaires sur “Il faut parfois déplier les étoiles, Erika Boyer

  1. Je suis profondément touchée de lire que mes mots t’ont apporté un certain réconfort à un moment où tu en avais besoin… Au réveillon, j’expliquais justement à ma mère que si je peux toucher ne serait-ce qu’une personne avec mes livres, alors pour moi, c’est une réussite. C’est grâce à ce genre de retour que je réalise que si l’écriture m’apporte quelque chose dont j’ai vraiment besoin, elle m’offre aussi la possibilité d’atteindre d’autres personnes, et pour ça, je trouve que je fais le plus beau métier du monde.
    Un grand merci ♡

    Aimé par 1 personne

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